Plusieurs choses interfèrent entre elles :
« prévalence de l’asthme observée chez les enfants de grande section de maternelle [..] dans la moitié Ouest de la France ».
Tous les garagistes te diront aussi que le « cancer » des voitures, la rouille, est plus fréquente et agit plus vite en bord de mer, à l Ouest de la france, qu’ailleurs :
eau + sel => carrosseries qui trinquent.
Pour tout ce qui est pulmonaire,
c est un peu pareil :
ainsi, les virus, bactéries et -pire car encore plus dépendant de l’humidité- levures et moisissures, résistent moins longtemps dans une atmosphère sèche :
ainsi, les problèmes pulmonaires, l entrée d agents infectieux pathogènes dans les voies respiratoires hautes est plus fréquente en bord de mer, qu’en climat continental.
(par contre, cette humidité peut favoriser leur blocage dans les voies hautes…)
Précision : trop de sécheresse, comme dans le désert, séchant le mucus protecteur du nez, n est pas non plus bon : c est le milieu, l’humidité intermédiaire, qui est le mieux.
Ainsi, sur ta carte de l’asthme, on observe l’influence de l’Ocean Atlantique, couplé à l’influence de la pollution…
Et ta carte de l’asthme, faite au niveau des régions, est bien trop imprécise pour montrer une hausse ou baisse de pollution entre une grosse ville et un village à 10km de là…
il faudrait une carte 100 ou 1 000 fois plus détaillée, pour voir la pollution… (avec les chiffres en % de la population, mais surtout pas en nombre… car, en nombre, il y a plus de malades (et de personnes saines) à Paris, que dans un champs d auvergne ou de la creuse…)