Nan mais je suis d’accord Pédibus, la pollution n’a pas de frontière. C’était pour la provoc’. Qui marche à tout les coups ici.
En fonction de la zone, chacun à ses inconvénients. Personnellement, j’ai la chance de vivre en périurbain, proche de la forêt. Donc, les pesticides et autres traitements chimiques de nos amis agriculteurs sont relativements loins. Tout le monde n’a pas cette chance, j’en convients. Et je n’aurais pas le culot de dire, comme certains, « t’as qu’à vivre comme moi » ! On ne peut pas tout choisir..;
Michel : 2 milliards de bagnoles, peut-être, mais sa ne durera pas longtemps !