1- « n’a pas les moyens de vivre et travailler en centre-ville. »
vivre + travailler en centre-ville ou très proche banlieue, en se déplaçant en mode actif (vélo-marche) revient MOINS cher, que de se loger à perpette, avec un loyer et/ou un remboursement de prêt d achat de logement réduit, mais nécessitant de se déplaçer pour toutes activités, dont le travail.
Seules les personnes ne quittant jamais leur logement, y ont un léger avantage financier [ils payent tout plus cher (visites du doc à domicile, achat chez des commerçants ambulants, ou des péiceries de villages) mais économisent sur leurs non sorties, et loyer plus bas]
c.f. manicore.com
2- Tout le monde n’a pas l’envie (c.f. enfants) de vivre et travailler en centre-ville.
quel est le rapport ?
la difficulté d avoir un parc ou une rue piétonne (où ils peuvent jouer au foot ou au tennis) en centre-ville?
alors, « suffit » de faire du lobying, pour que les politiques modifient ainsi la ville, et l améliorent, pour en faire un lieu de vie :
ils ont deja commençé, lentement, par des parcs, et zones 30 et 20, mais il reste encore énormément à faire, c est vrai.
Les rares rues piétonnes sont en général des rues piétonnières :
des rues bourdées de commerces, et très rarement, des rues bordées d habitations.
Par contre, ce n est surtout pas en partant dans des villages-dortoirs uniquement reliés par la route, que les choses vont s améliorer…
que ce soit pour les gens restés en ville, ou pour les gens partis dans ces villages-dortoirs.